Illustration : RE.
Face à une défaillance majeure d’une interconnexion avec la Norvège, le gestionnaire d’électricité anglais a pu compter sur de nombreux systèmes de stockage d’énergie par batterie (BESS) pour stabiliser son réseau. Cet évènement vient appuyer l’enjeu de développer des moyens de stockage performants pour réussir la transition énergétique.
Les opérateurs anglais du Neso (National Energy Système Operator) ont dû avoir chaud, le 8 octobre dernier, quand ils ont vu la production électrique issue du NSL Link passer de 1,4 GW à 0 GW en l’espace de deux secondes. Cette coupure brutale d’approvisionnement en électricité a dangereusement déstabilisé le réseau anglais, faisant chuter la fréquence à 49,59 Hz lorsque la normale se situe entre 49,8 et 50,2 Hz. Or, une telle panne peut avoir des conséquences dramatiques sur le réseau électrique tout entier. Dans le pire des cas, une baisse trop importante de fréquence peut entraîner des déconnexions en chaînes pouvant conduire jusqu’à l’effondrement du réseau : le Black-out.
Heureusement, les équipes de NESO ont pu compter sur les près d’1,5 GW de BESS qui ont été mobilisés pour stabiliser le réseau, empêchant ainsi cette cascade de déconnexion. Ce n’est d’ailleurs pas la première fois que les systèmes de stockage par batterie permettent de stabiliser efficacement le réseau à la suite d’une panne. Le 30 septembre, un événement similaire sur le Moyle Interconnector, alors qu’il permettait la transmission de 442 MW d’électricité de l’Écosse vers l’Irlande du Nord. Là encore, les systèmes de batteries ont permis la stabilisation des deux réseaux.
Le NSL Link, une des plus longues interconnexions au monde
Mis en service en octobre 2021, le NSL Link relie la Norvège au Royaume-Uni. Long de 720 km, il permet le transport d’une puissance maximale de 1,4 GW grâce à une connexion de type HVDC. Le projet aura nécessité un investissement de 2 milliards d’euros.
Les systèmes de stockage, gardiens du réseau électrique
Cet événement illustre une fois de plus l’importance des systèmes de stockage sur des réseaux électriques où la part des énergies renouvelables est élevée. Outre la restitution d’électricité lorsque les systèmes de production comme le photovoltaïque ou l’éolien ne sont pas actifs, les systèmes de stockage permettent de jouer ce rôle de tampon indispensable pour la stabilisation du réseau.
En restant très schématique, la fréquence du réseau électrique dépend grandement de l’équilibre entre la production et la consommation d’électricité. Une consommation d’électricité trop importante peut générer une chute de la fréquence, et inversement.
Encore aujourd’hui, le réseau électrique peut-être rapidement stabilisé grâce à des moyens comme :
- Les centrales de pompage turbinage, permettent d’augmenter la production d’électricité, ou d’absorber le surplus d’électricité en fonction des besoins du réseau,
- Les centrales thermiques, à gaz, à charbon ou au pétrole, qui ont la capacité de démarrer très rapidement pour augmenter la production électrique,
- Certains gros industriels, qui peuvent réduire temporairement leur consommation électrique en cas de besoin, et ainsi réduire la demande. C’est ce qu’on appelle l’effacement.
Décarbonation oblige, les centrales thermiques sont vouées à disparaître progressivement. Mais les gestionnaires de réseau pourraient bien gagner au change avec des BESS dont la flexibilité est encore plus élevée. Celles-ci permettent, comme les STEP, d’injecter rapidement du courant sur le réseau, mais également d’en absorber.
Commentaires
c est une preuve grandeur nature que les reseaux 100% ENR fonctionnent.
C'est surtout une preuve que les réseaux à 35%EnR fonctionnent, comme c'était le cas en Angleterre ce jour.
https://www.energy-charts.info/charts/renewable_share/chart.htm?l=fr&c=UK&interval=day&day=w41
En ce fonctionnement est aussi très aidé par les 100GWh importés ce jour, malgré la coupure
C'est un progrès il y a 15 ans les gens "sérieux" clamaient haut et fort que plus de 20 % était impossible !
Ah bon ?
L'Angleterre est en 100% ENR ?
Je savais pas.
Cela permet juste de vérifier en réel la résilience de la connexion de l'Angleterre aux steps norvégiennes.
La mutualisation de l'hydraulique norvégien et et l'éolien britannique fonctionne bien et résiste à des pannes. c'est déjà pas mal.
Fort bien, mais elles ne génèrent pas de déchets dangereux à vie longue et ne nous rendent pas dépendants d'autres pays pour notre approvisionnement, est-ce bien une bonne idée 🤔
Détrompez-vous !
Quand on exploite des minerais quelle qu'il soit, on déterre toujours des métaux lourds et autres cochonneries.
L'exploitation des terres rares génères des déchets radioactifs dont on entend jamais parler car ils restent en Asie.
Vous avez tout à fait raison de rappeler que c'est donc comme le nucléaire, qui n'émet lui non plus aucun déchet dans la nature et nous rend moins dépendant de l'étranger (peut être même moins que les batterie car elles sont 100% importées).
C'est en revanche totalement l'inverse pour les énergies fossiles.
Ah?
on extrait de l'uranium en France, c'est bien ça !
J'avais cru entendre dire, mais je me trompe surement puisque vous affirmez le contraire, que nous importions quand même un tout petit peu pour le combustible de nos centrales.
Mais bon, on entend parfois des choses bizarres, merci de rétablir cette vérité
Oui vous vous trompez car je n'affirme pas cela.
J'ai indiqué que cela nous rendait MOINS dépendant des importations, pas totalement.
Vous voulez d'autres exemples de chose que l'on importe, au moins en grande parti? Les médicaments, les ordinateurs, les batteries, les bananes, les vêtements, les composants des voitures, le pétrole...
Le jour où la Chine décidera de ne plus nous livrer de batterie on sera bien.
Le nucléaire a des inconvénients mais la gestion des déchets et l'indépendance sont plutôt à classer du côté des avantages.
Finalement, quoi d'extraordinaire, on vérifie simplement que les batteries remplissent parfaitement l'une de leurs fonction. C'est exactement pour cela qu'elles ont commencé à être intégrées au réseau l'origine, pour le réglage de fréquence. Pour cette fonction elles sont depuis longtemps tout à fait rentables et économiques.
Il serait intéressant de voir comment l'afflux de puissance à été géré en Norvège et de comparer les deux.
Non ce n'est pas du tout rentable pour cet usage, les opérateurs sont juste obligés d'en installer s'ils veulent avoir un réseau stable en toute circonstance. Et c'est bien la seule fonction de ces giga-batteries, il ne faut pas s'imaginer qu'elles permettront de pallier l'intermittence des enr.
Sinon il est vrai que dans certains pays dont le réseau est gravement perturbé par la pénétration des enr, les giga-batteries peuvent paradoxalement devenir rentables, en stickant l'apmidi à zero€ puis destocker à 19h à 200€/300€.
vous ne comprenez décidément rien à rien, l'intérêt des batteries pour le réglage de fréquence est qu'elles peuvent faire varier leur puissance en + ou en - en l'intervalle de quelques dizaines de millisecondes , de plus, pour ce rôle elles n'ont aucun besoin d'être "giga", elles ont juste besoin d'être puissantes. Les réserves primaires, partout dans le monde passent aux batteries, simplement paracerque c'est plus économique que de laisser un turbine à gaz ou à fioul tourner en permanence à mi régime pour remplir le même role mais en beaucoup moins performant. Cela n'a que peu de rapport avec le stockage de grande quantité d'énergie ( que les batteries savent faire aussi)
Le principal revenu des systèmes qui font de la réserve primaire , quand il font de la réserve primaire, c'est de mettre à disposition leur capacité qui est indispensable mais rarement utilisée
Pour une fois, Fred, tonton Gazogène est en grande partie d'accord avec vous.
Vous voyez, je ne suis pas borné (pas comme certains...). Et tout est mathématique.
Effectivement, les producteurs utilisant des alternateurs (nucléaire, hydraulique, thermique) sont sensibles à une demande saturante, qui génère une f-c-e-m (force contre électro motrice) au niveau de l'alternateur, qui va faire chuter la fréquence en-dessous de 50 Hz.
Tout ceci c'est du niveau de Terminale de sciences physiques de ma jeunesse (pas sûr que les Terminale actuels puissent le comprendre)..
Les sources issues de batteries, fournissent l'énergie via un onduleur qui a sa fréquence parfaitement stabilisée. Et effectivement, ces sources peuvent répondre à la demande dans un délai de quelques millisecondes, à la fréquence parfaite de 50Hz. Toutefois, leur limite se trouve dans la puissance qu'ils peuvent fournir. Si ils ne peuvent pas fournir, c'est la tension qui s'effondre, par effet des lois d'Ohm : quand l'intensité sature (court-circuit), la tension s'effondre.
Vu le prix "kolossal" d'une batterie pouvant stocker de nombreux GWh , l'usage en pur secours d'urgence, limité à quelques minutes (disons 15 minutes) peut constituer un compromis intéressant. Cela laisse quelques secondes de sécurité pour que les STEP et hydraulique de retenue , et centrales à gaz se lancent et se synchronisent à 50Hz. L'exemple de la coupure du lien Norvège-UK est un bon exemple.
Mais j'ajoute une question subsidiaire : vu qu'il s'agit d'une infrastructure d'urgence, donc d'utilité publique, qui doit supporter le prix de cet investissement ?
Les batteries se sont développées sans grandes aides pour conquérir le marché de la réserve primaire, partout dans le monde ( sauf peut être en Russie) . Le prix est important, oui, mais les économies que cela apporte le sont beaucoup plus. Mais c'est le sort des systèmes efficaces, ils ne peuvent compter que leur rente dure dans le temps car ils cannibalisent leur propre marché jusqu'à une rentabilité juste suffisante. La plupart des batteries installées dans le monde proposent maintenait de série de participer au marché de réglage de fréquence. Comme ce marché suppose juste une disponibilité et une consommation d'énergie statistiquement nulle on se retrouve avec des primes de participation qui s'écroulent pour le bien de tous.
Ce service de réglage de fréquence était rare et couteux, il devient commun et bon marché..
Cela fait plus de 40 ans que sur des réseaux "difficiles" à régler on utilise des stockages très performants (pour cet usage) mais très cher , des stockages électromagnétiques ( bobine de supra conducteurs) pour faire beaucoup de réglages réseau. Les batteries actuelles sont presque aussi performantes et beaucoup beaucoup moins chères.
Par ailleurs les services rendus par les batteries sont multiples, Beaucoup de parties du réseau ont des facteurs d'utilisation ( c'est le facteur de charge pour les lignes électriques) particulièrement faibles. Pour vous en convaincre il suffit de calculer le facteur d'utilisation du bout de câble qui relie votre maison au premier poteau. Avec des batteries judicieusement placées, on peut transporter beaucoup plus d'énergie avec les câbles actuels. Cerise sur le gâteau, cela permet de gérer localement une partie des énergies renouvelables.
Les batteries, avec leur baisse vertigineuse de prix vont devenir le couteau suisse du réseau, on à même maintenant des batteries sur roues qui se développent rapidement.
Vous vous couvrez de ridicule comme toujours. La réserve primaire est constituée par le moment d'inertie des grandes centrales hydroélectriques ou nucléaires.
Tapez " réserve primaire " dans n'importe quel moteur de recherche et revoyez vos prétentions intellectuelles à la baisse.
https://www.cre.fr/electricite/reseaux-delectricite/services-systeme-et-mecanisme-dajustement.html#:~:text=Depuis%20janvier%202017%2C%20la%20r%C3%A9serve,MW%20et%201%20180%20MW.
Un peu de tenue mon petit Karim !
Ce lien ne dit pas ce qu'est exactement une réserve primaire. Mais il y a un indice :
"La réserve primaire, activée de manière décentralisée au niveau de chaque groupe de production, intervient en 15 à 30 secondes ; la réserve secondaire, activée automatiquement par RTE, en 400 secondes"
Autrement dit la réserve primaire est activée instantanément sans intervention humaine dés qu'une chute de fréquence est détectée. Ca ne fonctionne que pour les grosses centrales qui produisent déjà à leur rythme de croisière, et qui peuvent rapidement et automatiquement augmenter leur puissance.
Bien sûr les giga-batteries peuvent jouer ce rôle, mais ça n'a d'intérêt que dans un réseau électrique déjà ravagé par l'intermittence des éoliennes et panneaux.
mais vous êtes un imposteur, lisez et comprenez ( si vous en êtes capable) faites une petite recherche , vous trouverez tout ce que vous voulez !
et non, cela ne fonctionne pas pour les grosses centrales, leur temps de montée en puissance est trop grand !
la façon traditionnelle est d'utiliser un turbine à gaz à mi puissance, une turbine à gaz à mi puissance peut varier en moins de 10 secondes de la mi puissance à 95 % de la puissance maxi ou à 5% de sa puissance maxi.
De plus il faut que cela soit reparti sur le territoire pour que la défaillance d'une ligne ne puisse pas bloquer son action.
Les réserves primaires avec des centrales dédiée temporairement à cette fonction sont presque aussi anciennes que les réseaux électriques.
"
Bien sûr les giga-batteries peuvent jouer ce rôle, mais ça n’a d’intérêt que dans un réseau électrique déjà ravagé par l’intermittence des éoliennes et panneaux."
plutot que de sortir des conneries essayés de vous instruire et de comprendre.
Non le temps de montée en puissance des grosses centrales n'est pas trop lent puisque en France nos centrales nuke font ça depuis 40zns. Vous oubliez de considérer le moment d'inertie de ces grosses centrales qui est un stabilisateur physique et automatique en cas de baisse de fréquence sur le réseau.
Je sais pas de quelle tradition vous êtes, mais en France on n'a pas de centrales à gaz qui tournent en permanence pour servir de réserves primaires (mais c'est sûrement le cas ailleurs). Vous faites une confusion avec les centrales à gaz de pointe (on en a).
Alors pourquoi diable EDF est il en train de bricoler une step en la faisant pomper et turbiner simultanément pour faire du réglage de fréquence ?
Je ne fais pas de confusion, ces faibles temps de réaction sont très difficilement accessibles au centrales thermiques passant par une turbine à vapeur, surtout les grosses centrales qui essaient déjà sans y réussir de maintenir leur fréquence et qui sont à ce moment déjà handicapées par l'inertie de leur rotor.
Analysez un peu l'histoire des divers blackout en France et en Europe
Partez de la réalité et on en reparle aprés.
On avait lu ça ici, et l'article disait bien qu'il s'agissait de faire face à l'intermittence des enr. Et les giga-batteries sont peut-être une meilleure réserve primaire encore que le nucléaire et l'hydraulique, mais vu leur coût, on ne les installe pas pour ça, mais pour capter les variations de prix de gros causées par ces horribles éoliennes et ces inutiles panneaux solaires
En plus d'être ignare vous ne savez pas lire !
il y a deux heures vous pensiez que la réserve primaire c'était l'inertie des alternateurs, et maintenant vous vous pensez capable de m'expliquer comment ça marche !
Vous n'avez manifestement honte de rien !
alors prenez le temps de vous documenter un peu sur le sujet.
Autre zrticle:
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Suivi_de_charge
Bon je sais qu'il est difficile d'admettre que tout ce en quoi on croyait n'était que des mensonges et de la propagande habilement martelées par le lobby financier des enr, alors je vous pardonne vos insultes.
c'est bien , vous commencez à avoir lu quelques bricoles, maintenant il faudrait comprendre.
La réserve primaire est appelée quand on constate que les centrales traditionnelles sont dépassées et que l'on s'oriente vers une situation risquant d'être catastrophique.
sur le site de rte on peut trouver par exemple
"L’Etat d’Alerte de la fréquence du réseau est déclaré lorsque :
Quand on arrive dans ces conditions, on fait un constat d'echec du suivi de charge et on prend des mesures énergiques. On ne peut pas appeler les centrales traditionnelles car elles font déjà toutes leur maximum pour rétablir la situation. On à donc besoin d'un joker qui s'appelle réserve primaire. Si on y arrive toujours pas on commence les déconnections plus ou moins sauvages.
Le suivi de charge est un système performant mais qui à ses limites, il suffit d'en être conscient.
Quelques bases d'automatique linéaire sur la régulation des systèmes vous aideraient grandement à ne pas vous planter systématiquement sur ce sujet
Mais vous êtes un vrai troll en fait...
Ce que vous dites "constat d'échec", "mesures énergiques"... Là c'est l'appel aux reserves secondaires (en partie aussi les centrales nucléaires).
La primaire c'est la reponse automatique sans intervention humaine, et le moment d'inertie des grosses centrales (nucléaires en France) est la béquille qui stabilise le réseau le temps d'augmenter leur propre puissance (sans intervention humaine).
"les centrales nucléaires participent au réglage de fréquence primaire"
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Suivi_de_charge
Vous allez encore contredire ? C'est pas croyable...
oui les centrales nucléaire, comme celles au gaz ou au charbon participent au reglage de fréquence, ce n'est en aucun cas la réserve primaire, les mots ont un sens, reserve signifie un truc que l'on garde de coté et primaire signifie le premier à etre appelé en cas de soucis !
Par ailleurs cette participation, sur les centrales vapeur, entraine une fatigue due aux contraintes thermiques alternées ( généralement dans un nucléaire raisonné on aime autant éviter, cela augmente les couts de maintenance).
La reserve primaire est appellée quand cette régulation est dépassée par les évenements.
Cependant , vous avez surement raison, la réserve primaire doit être comme vous l'affirmez quelques messages plus haut constituée de l'inertie des gros alternateurs et cela devrait être amplement suffisant pour répondre à tous les aléa !
Ces guignols de RTE ont même le culot d'avoir une partie de leur site consacré à ces moyens inutiles et inexistants, même vatenfall participe à ce complot
https://www.vattenfall.fr/professionnels/le-mag-energie-pro/RTE-renforce-securite
et que dire du monde de l'énergie ?
https://www.lemondedelenergie.com/filiere-stockage-stationnaire-pleine-explosion-france-europe/2022/10/27/
et oh horreur, même un fabricant Français
https://neoen.com/fr/actualites/2024/neoen-lance-la-construction-de-isbillen-power-reserve-la-plus-grande-batterie-de-suede/
bref, vous avez raison sur toute la ligne et il y a beaucoup de menteurs qui disent autre chose que vous !
Ok on va changer de methode, je ne vais plus perdre de temps à vous expliquer, je vais directement vous donner des articles:
https://www.uarga.org/energie/Electricit_reseaux_stab.php
Vous prouvez encore une fois que vous ne savez pas lire, à part quelques élucubrations anti-renouvelables ce document est à peu prés juste.
Il serait bon qu'au minimum vous compreniez ce qu'écrivent ces retraités avant de l'ouvrir à tord et à travers.
Cela fait quand même longtemps que des parcs photovoltaïques participent à la réserve primaire (mais uniquement à la baisse) dans les pays ou le solaire à une pénétration plus importante que chez nous.
Comme toujours , vous ne lisez que les quelques lignes tendancieuses sans rien comprendre au reste.
Il y a dans ce texte , concernant les renouvelables, beaucoup d'omissions voire d'erreurs. C'est compréhensible de la part de vieux retraités qu'ils ne se tiennent pas systématiquement au courant des évolutions. Il existe maintenant des onduleurs dits de formation réseau tant pour le photovoltaïque que l'éolien ou encore les batteries