La France développe l’éolien, le solaire et le nucléaire, mais pas le stockage de grande ampleur. Un immobilisme surprenant, alors que de nombreux pays développent massivement les batteries, STEP et autres technologies qui rendent le réseau électrique moins carboné, plus flexible et résilient. Pourquoi une telle inertie ? Le stockage est-il la pierre angulaire de la transition énergétique ? Éléments de réponse dans le second épisode du podcast Révolution Énergétique.
La plupart des scénarios énergétiques du futur montrent un intérêt limité au stockage d’électricité en France. Ni le gestionnaire du réseau national (RTE), ni la programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE), ni l’ADEME, ni les associations comme Négawatt, estiment les batteries et autres systèmes d’accumulation d’énergie comme un incontournable de la transition énergétique. À l’inverse, le scénario « Terrawater » élaboré par l’association « Les voix du nucléaire » prévoit une expansion considérable des stations de transfert d’énergie par pompage-turbinage (STEP).
Benjamin Laredo, étudiant ingénieur et rédacteur principal de ce scénario, est l’invité du second épisode du podcast Révolution Énergétique. Il évoque l’importance du stockage de grande ampleur pour remporter le défi de la transition énergétique, quel que soit le mix bas-carbone choisi. Qu’il y ait plus d’éolien et de solaire que de nucléaire, ou l’inverse, le stockage serait le meilleur allié des énergies décarbonées.
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