La course à la puissance bat son plein, du côté de l’éolien offshore, et la Chine semble avoir pris une belle avance avec la mise en service de sa « MySE 16-260 ». Cette éolienne affiche une puissance de 16 MW et est dotée d’un rotor de 260 m de diamètre. Selon son fabricant, elle pourrait couvrir l’équivalent de la consommation électrique de 80 000 personnes.
C’est officiel, Mingyang Smart Energy vient de mettre en service la plus grande et la plus puissante éolienne au monde. Ce modèle, répondant au doux nom de MySE 16-260, revendique une puissance maximale de 16 MW pour un diamètre de 260 mètres. Selon le fabricant, elle sera capable de produire jusqu’à 67 GWh d’électricité par an, un chiffre pour le moins hors norme.
Destinée à être implantée en haute mer au large de la Chine, elle a été conçue pour résister aux typhons. Elle sera capable de faire face à des vents de 79,8 mètres par seconde, soit plus de 280 km/h, d’après son fabricant.
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Si la MySE 16-260 est considérée comme l’éolienne la plus puissante au monde, c’est grâce à l’association de sa turbine et de son rotor. Il y a seulement quelques semaines, le fabricant Goldwind annonçait déjà la mise en service d’une éolienne de 16 MW nommée GWH252-16MW. Cependant, celle-ci dispose d’un rotor de « seulement » 252 m, contre 260 m pour le modèle de Mingyang.
Par conséquent, la MySE 16-260 balaie une surface de 53 900 m² contre 50 000 m² pour la GWH252-16MW, ce qui lui permet, théoriquement, de produire 1 GWh de plus par an (67 GWh pour la Mingyang contre 66 GWh pour la Goldwind). Ce record pourrait, cependant, ne pas tenir longtemps. En effet, plusieurs entreprises ont récemment indiqué travailler sur des modèles de 18 MW, à l’image du fabricant chinois CSSC Haizhuang Wind Power avec son éolienne baptisée H260-18MW, ou encore General Electric qui prépare une Haliade-X de la même puissance.
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C’est là qu’on peut comparer la politique de la Chine qui cherche à réduire ses contraintes en s’autonomisant énergétiquement, et celle de Macron dont le seul projet consiste donc à inventer des infractions routières, aidé en cela par les associations, pour multiplier les recettes des radars automatiques. Alors que tous le monde sait très bien que 99 % des accidents sont le fait de l’alcool, des drogues ou des médicaments contre lesquels les radars ne sont d’aucune utilité ! Sauf bien sûr si le but inavoué et de faire des recettes indues ?
Dommage que nous n’ayons pas son coût histoire de comparer avec nos 21 milliards d’investissement sur Flamanville et toujours aucun kwh produit.
Je vous signale que l’EPR finlandais marche depuis quelques mois et semble donner parfaitement satisfaction