Le parc éolien en mer Dogger Bank, actuellement en construction au large des côtes anglaises, pourrait être encore plus grand que prévu. La capacité totale du site serait alors de 5 GW si sa quatrième phase se concrétisait.
À l’origine de la construction du parc éolien offshore Dogger Bank au Royaume-Uni, SSE Renewables et Equinor viennent d’annoncer qu’une nouvelle extension est à l’étude. Pour rappel, le site initial, en cours de construction, doit s’étendre sur 1 700 km² au large des côtes du Yorkshire, à cheval entre les eaux territoriales britanniques, mais également danoises, allemandes et hollandaises.
Il sera doté d’une puissance installée de 3,6 GW, au terme de trois phases de construction (Dogger Bank A, B et C). Mais il pourrait aller encore plus loin. Des levées de fonds sont en cours jusqu’à fin novembre pour permettre de développer une quatrième phase (Dogger Bank D).
Des évaluations du sol marin sont également effectuées pour envisager les travaux d’extension sur des zones contigües au site initialement prévu. Si le projet aboutissait, Dogger Bank, qui est déjà le plus grand site éolien offshore au monde, attendrait près de 5 GW.
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Je me demande si demain des éoliennes offshore ne risquent pas de s’effondrer, sous l’effet d’explosions sous-marines comme celles qui ont percé les gazoducs Nordstream… La Navy Royale est-elle engagée dans une stratégie de surveillance des eaux entourant les parcs éoliens?
C’est tout l’avantage d’un parc ENR comparé à une centrale nucléaire. Tu peux toujours couper un câble HT, mais abattre 360 éoliennes, soit tu le fais avec des explosifs classique et tu vas te faire gauler à la deuxième, soit il te faut 300+ missiles de croisière et ça va, en plus de vider ton arsenal, te coûter environ 0.9 à 1 milliard en missiles et logistique de tir.
beaucoup moins rentable que d’envoyer UN missile sur une centrale thermique